La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1506)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode précédent N°1505)-

J'avais très peur que le Maitre, trop déçu ne prenne la décision de me renvoyer … Lorsque je regagnai l'appartement où Le Maître, le jeune et talentueux Marquis d'Evans daignait consentir à héberger Son esclave, je compris immédiatement que je devais m'attendre à des moments difficiles. Le Maître était installé dans son fauteuil favori, la tête haute, le regard sévère, il avait mis Ses bottes de cavalier et tapotait le bras de Son siège du bout de la cravache qu'il tenait fermement. M'empressant de me mettre nu ainsi que l'exige ma condition d'esclave, je me hâtai de venir me prosterner à Ses Pieds. IL ne disait rien... naturellement moi non plus et ce n'est qu'après plusieurs minutes de cet angoissant silence si pesant qu'il se saisit soudain de mes cheveux et me força à redresser la tête vers lui. Je cherchais à fuir Son Regard glacial, mais Il m'intima l'ordre de Le regarder bien en face. Et je savais que lorsque Monsieur le Marquis exigeait ainsi qu'un inférieur Le regarde, c'était pour lui faire ressentir toute la différence entre l’esclave et le Supérieur qui le fixait et tel un cobra le fascinant avant de frapper... Par réflexe, je tentais de détourner Son regard impérial, mais une paire de gifles fusa tel un éclair et claqua sur mes joues déjà empourprées et je revins à ma position initiale. Cela n'empêcha pas une seconde paire de gifles, toute aussi fulgurante. Puis le jeune Noble pinça mon menton et approcha Son Visage et je vis dans le magnifique bleu azur de Ses yeux profonds et hypnotiques, un réel mécontentement. Et c’est sur une voix au ton tout aussi glacial que Son regard, et dans un impressionnant calme, qu’Il daigna s’exprimer, à mon attention :

- J'ai été informé de tes résultats universitaires, ils ne sont pas médiocres, ils sont affligeants ! Tu devrais déjà être en train de faire tes bagages et rentrer la queue basse chez tes parents, car tu ne mérites pas que Je daigne t'accorder de M'appartenir.

.. Pourtant, J’ai décelé en toi cette Nature servile rare au potentiel fort ayant cette capacité à un esclavage total via un engagement tout aussi fort… Alors Je vais faire montre d'une magnanimité exceptionnelle et qui va te coûter cher… très cher. Es-tu prêt, esclave, à tout subir pour essayer de mériter que le Maître de ta piteuse existence, le Propriétaire de ce qui te sert de corps et de ton âme servile daigne poursuivre ton dressage et pour devenir, peut-être un jour un véritable esclave ? … Je vais compter jusqu'à cinq, si à cinq tu n'as rien dit, je considérerai que tu te soumets totalement à Ma Volonté courroucée, sinon, si tu oses exprimer quoi que ce soit, un seul mot sortant de ta bouche qui n'est même pas bonne à recevoir la pisse d'un chien errant, alors tu feras tes bagages et tu disparaîtras de Mon Existence. Mais si tu ne dis absolument rien, attends-toi à mériter mon courroux…

Et Le Maitre décompta : 1, 2, 3, 4... 5. Je ne dis absolument rien, je restai humblement silencieux, prêt à tout endurer pour que le jeune Marquis d'Evans consente à me garder à Ses Pieds, pour que ma vie ne soit consacrée qu'à Lui appartenir, à Le vénérer, à Lui obéir et Le servir toujours, partout, quelles que soient les circonstances, c’était ma seule et unique importance, ma seule priorité, être et rester à Lui ...

- Bien... Donc tu vas te soumettre à toutes les épreuves que je déciderai de t'imposer, tu connaîtras l'humiliation, l'avilissement, la douleur, tu descendras plus bas que tout ce que tu n'oserais même pas imaginer... et à l'issue de ce parcours initiatique, je prendrai Ma décision définitive quant à ton avenir d'esclave à Mes pieds. Car esclave tu es et demeureras, mais tu dois Me prouver que tu peux mériter de M'appartenir, autrement, je n'aurai aucune indulgence et je te céderai sans hésitation au premier Supérieur qui daignera t'adopter...

Ayant prononcé cette sentence qui me glaça le sang, le jeune Noble défit le collier que je portai au cou et c'est en me poussant du pied qu'il me fit avancer en quadrupédie jusqu'à la pièce où se trouvait la cage.
Mais le Maître ne m'enferma pas. Il me mena en me tirant par les cheveux jusqu'à la croix de Saint-André qui se dressait sur un mur d’angle placé dans le cagibi sans porte et m'y attacha face à la pièce. Il fixa à mes tétons et à mes couilles, des pinces mordantes auxquelles pendaient de lourds poids. Partout ailleurs sur le corps, des pinces à linge en bois, au total une trentaine. Puis il installa trépied avec un caméscope branché sur le secteur électrique (nous sommes dans les années 80) face à mon corps nu ainsi tourmenté et le mit en marche fixe avant de quitter la pièce… Et je demeurai ainsi... le temps passant, deux heures s'égrainant lentement, la morsure des pinces de bois et l'étirement des poids irradiant peu à peu mon corps servile tout entier d'une douleur diffuse et permanente. Je ne pouvais retenir les larmes qui coulaient maintenant sur mes joues, autant de douleur que de la honte de ces résultats qui avaient provoqué le mécontentement du Maitre. J’aurai tellement préféré qu'il me batte, qu'il me corrige durement, mais être ainsi abandonné, contraint dans le silence et la douleur de méditer à ce qui m'avait mené à cette si difficile situation. Je ressassais tous les moments où je n'avais sans doute pas montré assez de motivation, où j'avais été indigne de la confiance du Maître Vénéré... Mon corps par moment se tendait bien inutilement puisque la façon dont j'étais assujetti à la croix rendait tout mouvement dérisoire.

La porte latérale s'ouvrit et je sentis une présence... Mais le positionnement de mon corps m'interdisait de voir de qui il s'agissait à cause du mur latéral du cagibi... Quand devant moi apparut soudain un homme... Il était entièrement nu et portait une cagoule noire ne laissant apparaître que ses yeux et sa bouche. Il présenta une bouteille d'eau et pencha le goulot vers ma bouche, je l'ouvris en grand car ces heures de souffrance m'avaient assoiffé. Il laissa couler un peu d'eau dans ma gorge, humectant ma bouche, puis retira le goulot de mes lèvres.
.. par réflexe, je tentais d'avancer la tête vers cette eau qui me devenait ainsi inaccessible. Mais mon mouvement fut naturellement empêché par les entraves. L'inconnu s'occupa ainsi un long moment, m'accordant quelques gouttes avant de retirer la bouteille, puis la rapprochant sans pour autant me permettre de boire... et je vis qu'il prenait bien garde à ne pas s'interposer entre le caméscope et mon corps ainsi exposé. Ce "jeun" dura longtemps, jusqu'au moment où l'homme cagoulé fit ruisseler toute l'eau qu'il restait sur mon corps, me faisant comprendre que c'en était fini de boire.

Mais ce mystérieux inconnu ne quitta pas la pièce pour autant. Demeurant tout près de moi, il s'occupait maintenant à manipuler les pinces. Ainsi, le Châtelain n'allait pas appliquer Lui-même la sentence. L'esclave n'était même pas digne que le Maitre se charge en personne de Son châtiment. Le jeune Marquis avait délégué cela à cet inconnu cagoulé... Et celui-ci poursuivait son sadisme, faisant bouger les pinces sans pour autant les enlever, tirant doucement sur les poids afin d'en augmenter la tension déjà si forte... Puis, saisissant l'une des pinces, il tira doucement dessus, étirant la chair prisonnière jusqu'à ce que la pince se détache provoquant un gémissement que je ne pus contrôler et qui me valut une fulgurante gifle sévère. Ainsi, l'homme enleva une à une les pinces de bois qui garnissaient toutes les parties de mon corps exposé, suscitant à chaque fois une morsure plus douloureuse et le moindre souffle de ma part me valait une forte claque en réprimande. Tout mon corps ressentait douloureusement l'afflux de sang partout où les pinces étaient restées si longtemps en place. Rarement j'avais été aussi tendu, et je savais que restaient en place aux couilles et aux tétons, les pinces garnies de poids... Mais l'homme cagoulé stoppa net et se tint droit, immobile… A nouveau la porte latérale s'ouvrit et une fois que la personne s’approcha, du coin de l'œil je vis entrer cet autre homme, lui aussi nu et cagoulé, portant un fauteuil.
Il était suivi de Monsieur le Marquis tenant Chloé en laisse et en quadrupédie, la jeune femme le suivant ainsi en toute humilité… Le fauteuil ayant été déposé près du caméscope. Et celui qui le portait se recula de quelques pas dans une attitude des plus déférentes envers le Supérieur, le Maître, qui prit place, la soumise nue se tenant un pas en arrière, la tête regardant le sol.

- Je n'ai que peu de temps à t'accorder, à peine celui d'édicter Mes règles : Ta punition commence à peine. Ces deux soumis-étalons appartiennent au Cercle des Supérieurs, et bien évidemment dans la catégorie des inférieurs. Ils ont été privés de jouissance durant une longue période et J'ai décidé que ce serait toi qui leur servira de défouloir, de dévidoir à foutre de leurs couilles pleines lors de la libération de leurs pénis. Ils ont droit à trois heures pour s'épancher jusqu’à se vider maintes et maintes fois en toi, et ou sur toi, car tu es leur objet sexuel. Tout cela bien sûr devant le caméscope. Je vais d’ailleurs remettre une nouvelle cassette VHS de 240 minutes, puisque tous les Membres du cercle recevront une copie de cette cassette, afin qu’Ils visionnent les châtiments que tu vas subir. Cela peut nourrir l'inspiration des Supérieurs et sert aussi d'avertissement pour les esclaves qui pourraient commettre l'erreur de se montrer négligents…. Tu vois, ta méprisable médiocrité a donc quelque utilité. Lorsqu'ils verront ce que coûte le manque d'engagement, les autres esclaves seront conscients que seule la plus absolue motivation peut les épargner… En ce qui Me concerne, J'ai un programme chargé ce soir, car Le Maître des études va Me resti l'esclave Joëlle que Je Lui avais prêté… Et Ma belle esclave mérite, elle, d'être récompensée pour ses excellents résultats, ainsi elle a amplement mérité de recevoir dans tous ses orifices, Ma noble Verge et Ma semence… Quant à Chloé, elle a encore beaucoup à apprendre. Aussi vais-je l'attacher sur ce fauteuil où je me trouve, afin qu'elle puisse assister au traitement que vont te réserver ces deux esclaves-étalons en manque et en fort rut… Et, au fait, ne te berces surtout pas d'illusion, tu n'es en train de vivre que les prémices du châtiment que Je te réserve. La punition commence, elle est encore bien loin de s'achever. Ainsi tu sauras ce qu'il en coûte de ne pas Me satisfaire...

Et sur ces mots, Le Maitre entrava Chloé entièrement nue sur le fauteuil, face à moi, Il l’attacha de façon à ce qu’elle garde les cuisses largement écartées, exhibant ainsi à mon regard son sexe parfaitement lisse. Chaque cheville liée à chaque pied du fauteuil et chaque cuisse reliée à un accoudoir par un savant cordage de nœuds. Les bras attachés en arrière passant derrière le dossier du fauteuil… Le Maître lui bondagea les seins, lui faisant gonfler ses mamelles et les redressant par un cordage passant sur chacune de ses épaules pour aller s’ancrer dans le bas du dossier du fauteuil. Il lui installa un bâillon-boule, lui obligeant ainsi à garder la bouche grande ouverte et à baver… Elle eut pour consigne de fixer, de regarder attentivement, les yeux grands ouverts ce que j’allais subir sans en perdre une seule seconde en restant ainsi ligotée… Puis le jeune Châtelain installa une nouvelle cassette VHS vierge, enclencha sur ‘enregistrer’… Ensuite, Il accorda à soumise Chloé un long baiser, tout en caressant son opulente poitrine bondagée et sa chatte épilée bien exhibée, qui je n'en doutais pas, devait être d'une moiteur extrême. Puis Il quitta la pièce tandis que les deux soumis-esclaves-étalons venaient me détacher de la croix sans un mot, leurs grosses et impressionnantes verges turgescentes déjà dressées. Ils ne perdirent pas de temps, je me retrouvai immédiatement à quatre pattes, l'un enfonçant sa volumineuse queue entre mes lèvres buccales tandis que l'autre m'enculait d'un coup sec et sans attendre... Celui qui prenait mon cul me claquait les fesses tout en m'enfonçant sa queue épaisse au plus profond, et l'autre avait saisi mes oreilles et m'imposait une gorge profonde qui ne me laissait que de brefs instants pour respirer... la punition n'en était qu'à ses premières heures ! …

(A suivre …)

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